TitreL’oeuvre en mouvement. De l’Antiquité au XVIIIe siècle
Auteur(s)Morgan Dickson, Véronique Dominguez, Marie-Laurence Haack, Dominique Paris-Poulain, Philippe Sénéchal (dir.)
Année de publication2022
CollectionScripta Receptoria
Volume24
VilleBordeaux
Isbn9782356135254
ÉditeurAusonius Éditions
NotesM. Dickson : Médiéviste littéraire. Elle est maîtresse de conférences à l’Université de Picardie Jules Verne depuis 1998. Ses recherches portent principalement sur les romans anglo-normands (XIIe-XIIe siècles) ainsi que sur les romans et lyriques en moyen anglais. Ses articles récents examinent l’importance de l’ouïe dans les représentations de la figure du rossignol dans les textes médiévaux.

V. Dominguez : Professeure de langue et de littérature du Moyen Âge à l’UPJV depuis 2015. Elle est co-rédactrice en chef de la revue d’épistémologie Perspectives Médiévales, et elle dirige actuellement le programme de recherches « Regards Croisés sur l’Objet Médiéval », un partenariat entre l’Institut national d’histoire de l’art et les musées de France (Cluny, Musée de Picardie). Ses travaux scientifiques portent sur le théâtre médiéval français, notamment sacré, qu’elle édite, commente et traduit, et dont elle étudie la réception critique et esthétique, du XVIe siècle à aujourd’hui, dans l’histoire du théâtre français comme sur les scènes européennes. Elle prépare la biographie intellectuelle de Gustave Cohen, fondateur des études sur le théâtre médiéval.

M.-L. Haack : Historienne et étruscologue. Elle est professeure d'histoire ancienne à l'Université de Picardie Jules Verne depuis 2011. Elle a été membre Junior de l’Institut Universitaire de France (IUF) et elle est membre de l’Istituto di Studi Etruschi ed Italici.

D. Paris-Poulain : Maîtresse de conférences d’histoire de l’art médiéval à l’Université de Picardie Jules Verne depuis 1988. Ses recherches portent sur les arts figurés, sur la peinture monumentale, sur les questions liées à l’iconographie et au mécénat artistique.

P. Sénéchal : Professeur d’histoire de l’art moderne à l’Université de Picardie Jules Verne depuis 2004. Il fut directeur des études et de la recherche de l’INHA de 2010 à 2014 et préside actuellement le conseil scientifique du Centre allemand d’histoire de l’art, Paris, et le Comité national de l’estampe. Ses travaux portent principalement sur l’histoire de la sculpture italienne de la Renaissance, sur l’histoire de la mode et du vêtement et sur l’histoire de l’histoire de l’art. Il prépare un livre sur l’histoire des matériaux pauvres de la sculpture européenne, du XVe au XVIIIe siècle.
RésuméComment décrire et interpréter le mouvement ? Les 22 essais qui composent le présent ouvrage analysent cette notion dans un ensemble varié d’oeuvres littéraires, iconographiques et musicales, de l’Antiquité au XVIIIe siècle. Après une mise au point historique et philosophique du mouvement comme rythmos, il est étudié en tant que figure dans les textes, l’iconographie romane et gothique, et les objets du quotidien. Puis c’est la mobilité des oeuvres d’art, parfums, objets votifs, marionnettes, machinerie ou processions, qui est soumise à l’examen. Sont enfin analysés les gestes portés par la musique ou la danse, étrusque ou romane, réelle ou sculptée. Le mouvement apparaît ainsi comme l’une des modalités les plus accomplies de l’oeuvre d’art, qu’elle soit texte, tableau, sculpture, dispositif ou monument.
Nb de pages380
Prix25 €
Poids800
DisponibilitéEn stock
4ème de couvertureComment décrire et interpréter le mouvement ? Les 22 essais qui composent le présent ouvrage analysent cette notion dans un ensemble varié d’oeuvres littéraires, iconographiques et musicales, de l’Antiquité au XVIIIe siècle. Après une mise au point historique et philosophique du mouvement comme rythmos, il est étudié en tant que figure dans les textes, l’iconographie romane et gothique, et les objets du quotidien. Puis c’est la mobilité des oeuvres d’art, parfums, objets votifs, marionnettes, machinerie ou processions, qui est soumise à l’examen. Sont enfin analysés les gestes portés par la musique ou la danse, étrusque ou romane, réelle ou sculptée. Le mouvement apparaît ainsi comme l’une des modalités les plus accomplies de l’oeuvre d’art, qu’elle soit texte, tableau, sculpture, dispositif ou monument.