La correspondance privée dans la Méditerranée antique : sociétés en miroir
Madalina Dana (dir.)
Les lettres privées, inscrites sur des supports très variés comme le papyrus, les tessons de céramique, les tablettes en bois ou en terre crue ou bien le plomb, échangées entre de parfaits inconnus de l’histoire, représentent une source originale et insuffisamment exploitée pour l’histoire économique, sociale et culturelle de l’Antiquité. Les territoires concernés par les échanges épistolaires sont très vastes, allant de l’Orient mésopotamien, assyrien et perse jusqu’à l’Occident romain en passant par l’espace égéen, sur des centaines voire des milliers d’années, montrant ainsi l’évolution des pratiques et l’ampleur des transferts culturels.
Les lettres privées, inscrites sur des supports très variés comme le papyrus, les tessons de céramique, les tablettes en bois ou en terre crue ou bien le plomb, échangées entre de parfaits inconnus de l’histoire, représentent une source originale et insuffisamment exploitée pour l’histoire économique, sociale et culturelle de l’Antiquité. Les territoires concernés par les échanges épistolaires sont très vastes, allant de l’Orient mésopotamien, assyrien et perse jusqu’à l’Occident romain en passant par l’espace égéen, sur des centaines voire des milliers d’années, montrant ainsi l’évolution des pratiques et l’ampleur des transferts culturels.
Réalités et représentations culturelles (Ier siècle a.C.-IIIe siècle p.C.)
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